filmé à Arette, le 22 janvier 2024

filmé le 31 décembre 2021, à Arette

avec Michel Oros et Sylvie Ananos

merci à Françoise Lagrave pour le prêt des photos et du plan utililsés dans le film

filmé à Arette, le 27 décembre 2021

filmé à Arette, le 18 juin 2021

suite à l’article de Christian Muscarditz dans le journal de la microscopique n°2

Ça y est ! Le n°1 du journal de la microscopique est revenu de l’imprimerie et nous avons créé l’association la microscopique pour pouvoir gérer plus collectivement et « officiellement » les activités autour de cette question initiale et centrale : comment chacun habite un territoire et comment ce territoire nous transforme.

Le journal est aujourd’hui en vente dans 8 lieux du village d’Arette :

  • la boulangerie Pouey
  • l’épicerie vival Bergerot
  • le bar tabac Chez Miké
  • l’espace Pic Nic
  • sur le stand de La Mie Béarnaise, sur le marché d’Arette (mercredi matin) et le marché d’Aramits (dimanche matin)
  • chez Laetitia, 8 rue d’Isaba
  • chez Mathilde, 10 rue d’Escamet
  • chez Claire, 78 rue Marcel Loubens

A Oloron, vous trouverez le journal en vente

  • La Galerie d’Aurélie Dupont, rue de la cathédrale

Et pour ceux qui habitent loin, vous avez la possibilité de vous procurer le journal en version numérique à partir du lien suivant :

https://www.helloasso.com/associations/la-microscopique/paiements/journal-de-la-microscopique-d-arette-format-numerique

Pour les futurs lecteurs vivants loin d’Arette mais qui aimeraient l’acquérir au format papier, nous cherchons une solution pour éviter que les frais d’envoi soient plus élevés que le coût du journal lui-même… Cela va se mettre en place petit à petit.

Dans ce premier numéro, vous trouverez des articles écrits par une dizaine d’habitants du village. Une partie des articles est consacrée à la vie du village, une autre partie des articles s’est appuyée sur le film « Château Forez » pour apporter de nouveaux regards sur un même sujet d’exploration.

Le 2ème numéro est en cours de préparation et sortira dans deux mois, c’est-à-dire début mai puisque nous sommes partis sur l’idée d’un bimestriel.

Nous croisons les doigts pour que le numéro 1 vous attire et nous permette d’imprimer le numéro suivant. En effet, le coût du journal – 2€ – couvre exclusivement les frais d’impression.

Nous espérons que la lecture de ce journal vous procurera du plaisir et l’envie de soutenir et/ou de participer.

filmé à Arette, le 10 janvier 2021

improvisation piano non accordé et chant : Zeph Maire

sons ambiance : Sylvie Ananos

image, montage, réalisation : Claire Ananos

Ça y est ! La maquette du premier numéro est terminée. Merci à chacun.e des contributeurs.trices ! Pour l’instant, l’équipe est composée d’une dizaine de personnes mais j’espère qu’elle grossira petit à petit.

Le journal est aujourd’hui imprimé en 5 exemplaires sur une photocopieuse classique A3. Ces 5 exemplaires vont permettre de passer en phase de test. Je m’explique : d’ici la fin janvier, l’idéal serait qu’une trentaine de personnes puissent avoir un exemplaire à disposition durant 24h pour le découvrir, le lire.

Suite à cette lecture, chaque lecteur pourra compléter un questionnaire qui nous aidera à peaufiner le projet, vérifier aussi sa viabilité et nous donner l’impulsion pour passer à une phase d’impression plus importante (en qualité et en nombre d’exemplaires).

Si vous avez envie de tester le journal, faites signe ! Vous pouvez écrire à l’adresse mail suivante : lamicroscopique@gmail.com

Aujourd’hui est aussi le jour de la clôture des votes sur le site du budget participatif 64.

156 personnes ont voté pour le projet du journal, merci infiniment pour leur soutien. Par rapport aux 319 projets proposés au vote, nous n’aurons pas assez de voix pour obtenir cette aide financière du conseil départemental. Nous allons inventer d’autres solutions pour permettre à ce projet de voir le jour ! A suivre…

C’est à partir d’aujourd’hui -et jusqu’au 4 janvier – que vous pouvez voter pour soutenir le projet du journal de la microscopique d’Arette !

Si vous avez plus de 11 ans et que vous habitez dans les Pyrénées-Atlantiques, vous pouvez voter afin de permettre à ce projet de voir le jour.

Chaque citoyen a la possibilité de voter pour 3 projets présentés. Et ce sont les projets qui recueilleront le plus de voix qui seront soutenus par le Conseil Départemental 64.

Arette est bien représenté puisque deux projets ont postulé au budget participatif 64 :

celui du journal de la microscopique porté par l’association Faisons Marcher Nos Rêves ;

et celui du mini-bus proposant des jeux itinérants porté par l’association La Ronde du Nous.

Et si vous pouvez partager auprès de vos connaissances et ami.e.s cet appel à voter, ce serait formidable ! Merci pour votre soutien !

Comment faire pour voter…

a) Aller sur la page suivante

https://www.budgetparticipatif64.fr/project/le-budget-participatif-64/selection/le-vote

et cliquer sur l’onglet « Voter » en haut

b) cliquer sur « inscription » en haut à droite

c) entrer les mots-clefs du projet que vous souhaitez soutenir parmi les 319 proposés. Sélectionner la page du projet pour l’ouvrir.

d) au-dessus du titre, cliquer sur l’onglet « Voter pour »

e) procéder de même pour 2 autres projets afin de valider vos votes.

merci !

Suite à l’exposition audiovisuelle et participative de la microscopique d’Arette en décembre dernier, l’idée a germé de créer une nouvelle variante du projet : co-construire un journal papier avec les Arettois.

Le projet a été déposé auprès du Budget Participatif 64 afin d’être accompagné et soutenu au niveau départemental. Vous pouvez le lire ici :

https://www.budgetparticipatif64.fr/projects/le-budget-participatif-64/collect/etape-de-depot-des-idees/proposals/le-journal-de-la-microscopique-darette?_locale=fr-FR

A partir du 21 novembre, vous pourrez voter pour ce projet et l’aider à voir le jour.

filmé à Arette, le 5 février 2020

avec Cécile Lelarge et Sylvain Airaud (espace Pic Nic)

Les premiers portraits « topographie humaine d’un espace commun » à Arette (et à Bagnols-sur-Cèze) datent de 2012 ! Il était temps de les reprendre, les poursuivre, les étoffer !

C’est Cécile et Sylvain qui débutent la nouvelle série de ces portraits. D’autres suivront je l’espère…

article dans le journal « la République des Pyrénées », mardi 10 décembre 2019

photographies de l’exposition/installation audiovisuelle de “la microscopique d’Arette” à la Maison des Métallos, Paris, le 6 décembre

merci à Hervé Nisic pour avoir pris le temps de photographier l’installation à ma place

carte Arette
ecran nord parrain
dessins mur sud
expo paris
dessins mur Est
dessins mur Sud
écran mur Ouest
dessins mur Ouest
expo paris
expo paris
mur Nord
mur Est
expo paris
expo paris
mur Sud
mur Est la vache
expo paris

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mur Ouest
entrée carte

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photographies de l’exposition/installation audiovisuelle de “la microscopique d’Arette” à l’espace Pic Nic à Arette les 29,30 novembre et 1er décembre 2019

mise en place et déroulement de l’exposition/installation audiovisuelle durant les 3 jours (quand il y avait le temps de faire des photos).

150 personnes sont passées durant l’exposition et ont laissé une cinquantaine de contributions.

Merci à tous les visiteurs, ainsi qu’à Frédéric Maire (Le Chaos), Cécile et Sylvain (espace Pic Nic), Janette (pour la com), Patrick (Artifix), Cynthia (Creativ id), Emilie (pour le soutien et la bonne humeur)

photographies de l’exposition/installation audiovisuelle de “la microscopique d’Arette” à l’espace Pic Nic à Arette les 29,30 novembre et 1er décembre 2019

contributions des visiteurs : les dessins de formes (format A4, paysage) et les grands formats

photographies de l’exposition/installation audiovisuelle de « la microscopique d’Arette » à l’espace Pic Nic à Arette les 29,30 novembre et 1er décembre 2019

contributions des visiteurs : les objets prêtés

photographies de l’exposition/installation « la microscopique d’Arette » à l’espace Pic Nic les 29,30 novembre et 1er décembre 2019

dessins de la forme d’Arette et textes (format A4 portrait)

affiche pour l’installation à l’espace Pic Nic les 29, 30 novembre et 1er décembre

filmé à Arette, le 10 novembre 2019, depuis le centre du village

les passages en V des grues vers l’Espagne au-dessus du village et le ciel poisseux actuel qui leur fait perdre le Sud…

et il va bien falloir se rendre à l’évidence… je suis fascinée par les oiseaux…

filmé à Casteigts, le 31 octobre 2019

filmé au Pas de Guillers, le 30 octobre 2019

filmé au Pas de Massaré, le 30 octobre 2019

filmé à Arette, près de la maison Laborde, le 29 octobre 2019

filmé à Arette, le 29 octobre 2019

filmé à Arette, le 28 octobre 2019

filmé à Arette, le 28 octobre 2019

En me demandant de préciser et montrer les frontières du village d’Arette, Frédéric Ferrer a relancé mon exploration minutieuse, microscopique, du village. Me voilà donc arpentant à l’aide de plusieurs cartes et d’une application GPS, à la recherche des limites Ouest, Sud, Est, Nord du village… Et je découvre des endroits que j’ignorais… Car les frontières du village sont vastes et incroyablement variées. Parfois même assez inatteignables pour moi…

Voici donc le premier film de cette série sur les frontières arettoises… On commence par la limite Ouest entre Arette, Lanne au nord, Ste Engrâce au sud.

A l’invitation de Frédéric Ferrer, la microscopique réalisée sur Arette -entre 2012 et aujourd’hui- va se déployer dans la salle 3 de la Maison des Métallos à Paris le 6 décembre 2019. Et dans le hall d’accueil, les visiteurs pourront découvrir le film réalisé avec Frédéric Ferrer sur l’île de Sein.

Le programme de la soirée concocté par Frédéric Ferrer (Vertical Détour) est ici : On s’effondre ou pas ?

La présentation de la microscopique le 6 décembre est ici : before la transition #1

L’installation de la microscopique Arette, à la Maison des Métallos, nécessite que je retravaille la présentation des 54 films réalisés sur Arette depuis 2012. Il y a eu la version « blog » des films, puis la version « projection » d’un film d’une heure, à présent il y aura la version « installation ».

Avec l’aide de l’espace Pic Nic d’Arette et de la société Le Chaos, nous ferons un « galop d’essai » de cette installation le 29 novembre pour la présenter aux Arettois (es) avant de « monter à Paris »

D’une part pour me permettre de tester l’installation dans l’espace, voir si elle fonctionne, s’il est possible de l’améliorer en fonction des retours des visiteurs à Arette, chez Pic Nic…

D’autre part pour proposer aux Arettois (es) de contribuer à l’installation à Paris en apportant des petits mots, des objets (pas trop gros car je pars en train !), toute contribution personnelle au projet qui évoque pour vous Arette et le fait d’avoir choisi d’y vivre*.

J’emporterai avec moi toutes vos contributions et les installerai avec les films. C’est important pour moi que la microscopique soit partageable à l’intérieur même du territoire filmé, mais aussi qu’il y ait un lien entre les territoires, une conversation, un échange…

*si ce sont des objets auxquels vous tenez, je vous les ramènerai évidemment après la soirée du 6 décembre

Je n’étais pas vraiment partie pour filmer la Junte de Roncal, juste y assister, mais quand j’ai vu les vaches apparaître et mettre l’assemblée à leur diapason, je n’ai pas pu m’empêcher de les filmer… avec mon téléphone du coup, faute de mieux…

filmé le samedi 13 juillet 2019, à la Pierre St Martin

la junte de Roncal – ou Tribut des 3 vaches – est une cérémonie célébrée le 13 juillet de chaque année, au niveau de la borne internationale 262, marquant la frontière entre la France et l’Espagne, au col de la Pierre St Martin. Lors de cette cérémonie, les maires béarnais de la vallée de Barétous remettent à leurs homologues de la vallée de Roncal, 3 vaches, en vertu d’un traité vieux de plus de 6 siècles, considéré comme étant le plus ancien actuellement en vigueur en Europe.

filmé à Arette et Aramits, le 21 février 2019

mardi 19 juin à 19h30 le film « les Oiseaux Solitude » sera diffusé dans le cadre de la carte blanche donnée à Elisabeth Soulas.

merci à Elisabeth

les mésanges charbonnières, corbeaux et étourneaux m’ont embarquée beaucoup plus loin que prévu…

filmé de septembre à décembre 2017, entre Arette et Féas

* merci à Air Rytmo pour m’avoir accordé l’autorisation d’utiliser le chant de Rosemary Standley et Dom La Nena

filmé de septembre à novembre 2017, Arette

Voilà. Celui qui m’a donné l’idée de débuter la microscopique à Arette, Paul Pourrillou, mon grand-père et parrain est parti le 22 octobre 2017.

Après 97 ans de doux et loyaux services à la vie, à son village et à sa famille.

Je ne l’ai pas filmé dans le cadre de la microscopique même si je l’ai filmé souvent par ailleurs.

Alors en hommage à Parrain qui m’a tellement encouragée et soutenue, toujours, même si mon métier lui semblait un peu bizarre, voilà le film réalisé en 1997.

« Baptiste, le soleil et la lune ».

Il était le personnage principal de ce film avec le comédien Laurent Deville. C’était mon premier long film, il a une foultitude de défauts de débutante, mais les personnes filmées sont bien là, dans leur sincérité et engagement. Lorsque Parrain vivait encore chez lui, il me demandait de lui mettre la cassette vhs de ce film et nous le re-re-re-regardions ensemble…

« Attendre la nuit »

Montage sonore réalisé en 2016 à partir d’enregistrements sonores de Janette Ananos. Parrain, l’Espagne, 1943, évadé de France.

voici le montage effectué pour la soirée du 30 août à Arette

ce travail de montage des films existants et la soirée de projection m’ont donné bien envie de poursuivre le projet sur Arette, sur une année entière à raison de 3-4 films par mois…

à suivre…

le 30 août 2017, à 20h30, Salle Barétous Roncal à Arette

5 ans après la création de La Microscopique, la mairie d’Arette propose de présenter ce travail lors d’une soirée.

Pour les personnes qui n’ont pas du tout suivi ce projet, voici un petit historique :

La microscopique est un projet de télévision de création documentaire à échelle microscopique.

« création documentaire »

car même si les films peuvent ressembler à des reportages journalistiques par leur format court, la démarche de réalisation est différente :
une démarche documentaire prend le temps de la réflexion et ne cherche pas à donner une fausse exhaustivité, une fausse objectivité, au sujet filmé.
De plus, le point de vue de la réalisation est assumé, libre et sincère, il ne joue pas à être objectif, neutre ou faussement innocent.
Faire de la création documentaire, à mon sens, c’est être au plus près de la vie, sans simplifier la réalité, sans la caricaturer, sans chercher à informer absolument.
C’est davantage de l’ordre d’une rencontre, d’une mise en relation entre les êtres humains (celle qui réalise, ceux qui sont filmés, ceux qui regardent les films).

« à échelle microscopique »

car j’ai un caractère à trouver du merveilleux et du foncièrement passionnant dans les moindres petites choses de la vie. Mes sujets ne sont pas ce qu’on appelle généralement « un sujet », un truc clairement percutant, original, qui sort de l’ordinaire.
Je fais la démarche inverse : mettre en lumière ce qu’il y a de percutant, de singulier et d’attachant dans l’infiniment ordinaire, quotidien.

Cette télévision est née en 2012.

Durant l’été, j’ai réalisé une quarantaine de films courts dans Arette et je les ai mis en ligne au fur et à mesure de leur conception. Dans l’idée de créer un rendez-vous quotidien avec les Arettois.
Les temps de tournage et montage étaient tellement longs que le rendez-vous quotidien était exclusivement sur le site internet.
J’aurais adoré pouvoir mener aussi des projections régulières en plein air au coeur du village, sur la place de l’église par exemple, où les passants et villageois pourraient se retrouver, partager ce moment ensemble et discuter, passer un bon moment.
Je n’en ai pas eu le temps, c’était le premier essai de ce projet.

J’ai ensuite poursuivi ce projet dans d’autres lieux en France et en Belgique.
Là, il y a eu des soirées de projection et effectivement c’était chouette d’avoir des retours immédiats sur les films, mais aussi de constater que des discussions émergeaient entre habitants d’un même lieu suite à la diffusion des films.
Les films constituaient une sorte de loupe sur le quotidien des habitants et cela leur donnait du grain à moudre sur leur propre vie, ils pouvaient échanger leurs remarques, se rencontrer, partager leurs conceptions.

Si le projet pouvait s’étaler sur plusieurs mois, il serait possible de créer peut-être réellement des rendez-vous habituels, d’envisager une organisation plus pérenne.
J’adorerais tenter l’aventure, c’est vrai, et voir si ça peut générer du mouvement à l’intérieur du lieu exploré.

Mon questionnement principal pour réaliser les films était :

Comment chacun habite un territoire ?

Comment le territoire nous habite ?

En changeant de lieu de réalisation des films, j’ai constaté la pertinence de mon questionnement. Il suffit de regarder les films tournés à Arette et à Bagnols-sur-Cèze pour s’apercevoir que forcément le territoire nous fait appréhender notre réel différemment.
A Arette, tous les esprits (même ceux qui n’ont pas vécu le séisme) sont marqués par le tremblement de terre de 1967 qui a détruit le village. A Bagnols-sur-Cèze, les Bagnolais me parlaient de leur résidence datant du XVIème siècle et avaient des considérations historiques et archéologiques sur leurs demeures…
Forcément, ça a des conséquences sur les caractères, les manières de faire et de voir la vie au jour le jour.

Pour la soirée de présentation du 30 août, j’avais d’abord envisagé de sélectionner quelques petits films réalisés en 2012 et de les diffuser pour créer ensuite un débat.
Mais la microscopique a évolué et sa conceptrice aussi… J’ai envie d’essayer autre chose, quelque chose qui soit nouveau pour moi et qui permette à chacun de s’approprier ces films autrement qu’en 2012.
Du coup, je suis en train de monter un film d’une heure à partir des 40 films tournés en 2012. Avec l’idée d’immerger le spectateur dans la vie du village.

Revoir et retraverser tous ces films est un vrai plaisir. J’espère le partager avec vous le 30 août… et peut-être que s’il fait beau, on pourra mettre en place une projection en plein air…? Qui sait ?

filmé dimanche 20 juillet 2014, Arette, la Mouline

filmé samedi 19 juillet 2014, Arette, au Col de Lie

+ la partition musicale du poulain électrique

« quand j’ai plongé la bande son dans un logiciel d’écriture musicale, cela a donné une véritable musique »

> Sylvie Ananos, journal de la microscopique n°3

Article-Micriscopique-Rock-Prado

Episode 5/5 Dépôt & Mairie

avec Rock Prado

filmé lundi 1er juillet 2013