filmé le 31 décembre 2021, à Arette
avec Michel Oros et Sylvie Ananos
merci à Françoise Lagrave pour le prêt des photos et du plan utililsés dans le film
filmé à Château-Thierry, du 09 au 14 septembre 2019, monté entre mars et juin 2020.
En septembre 2019, nous sommes revenues en résidence de création à Château-Thierry avec Gaëlle Bourges et Julie Vuoso. Cette fois-ci, nous avions un ingénieur du son sur une partie du temps de résidence (le luxe !) : Stéphane Monteiro.
Nous avons travaillé autour des ruines romaines de la ville. Surtout dans le quartier des Vaucrises et un peu aux Blanchards.
Nous avons retrouvé certains protagonistes du premier film, notamment Josette Vasseur. Et nous en avons rencontré d’autres… comme Marjolaine Jouannetaud (archéologue au service d’archéologie de la ville de Château-Thierry).
Le montage du film a été fait durant la période de confinement due à la pandémie de covid19. Petite ironie de la vie de monter un film qui s’appelle “ruines” en ce temps obscur… Similitudes aussi entre la chute de l’empire romain et le temps présent…
Voici le 2ème du film du triptyque de Château-Thierry.
filmé à Arette, le 5 février 2020
avec Cécile Lelarge et Sylvain Airaud (espace Pic Nic)
Les premiers portraits “topographie humaine d’un espace commun” à Arette (et à Bagnols-sur-Cèze) datent de 2012 ! Il était temps de les reprendre, les poursuivre, les étoffer !
C’est Cécile et Sylvain qui débutent la nouvelle série de ces portraits. D’autres suivront je l’espère…
filmé sur l’île de Sein, le 9 novembre 2017
monté le 17 décembre 2019
avec Frédéric Ferrer, Lou & Marin Ferrer-Thibaut, les Sénans et Sénanes croisé.e.s
musique : Canon in D Major de Kevin MacLeod
filmé à Arette, le 10 novembre 2019, depuis le centre du village
les passages en V des grues vers l’Espagne au-dessus du village et le ciel poisseux actuel qui leur fait perdre le Sud…
et il va bien falloir se rendre à l’évidence… je suis fascinée par les oiseaux…
filmé à Casteigts, le 31 octobre 2019
filmé au Pas de Guillers, le 30 octobre 2019
filmé au Pas de Massaré, le 30 octobre 2019
filmé sur la route d’Issarbe, le 30 octobre 2019
Plus on descend vers le Sud de la limite du village, plus l’accès est compliqué quand on n’est pas “randonneur confirmé” car on arrive vers la Pierre St Martin et la frontière espagnole, très rocailleuse. Et pleine de gouffres…
J’y retournerai peut-être, plus tard, accompagnée par des connaisseurs (avis aux amateurs !) pour compléter le projet.
filmé à Arette, près de la maison Laborde, le 29 octobre 2019
filmé à Arette, le 29 octobre 2019
filmé à Arette, le 28 octobre 2019
filmé à Arette, le 28 octobre 2019
En me demandant de préciser et montrer les frontières du village d’Arette, Frédéric Ferrer a relancé mon exploration minutieuse, microscopique, du village. Me voilà donc arpentant à l’aide de plusieurs cartes et d’une application GPS, à la recherche des limites Ouest, Sud, Est, Nord du village… Et je découvre des endroits que j’ignorais… Car les frontières du village sont vastes et incroyablement variées. Parfois même assez inatteignables pour moi…
Voici donc le premier film de cette série sur les frontières arettoises… On commence par la limite Ouest entre Arette, Lanne au nord, Ste Engrâce au sud.
Je n’étais pas vraiment partie pour filmer la Junte de Roncal, juste y assister, mais quand j’ai vu les vaches apparaître et mettre l’assemblée à leur diapason, je n’ai pas pu m’empêcher de les filmer… avec mon téléphone du coup, faute de mieux…
filmé le samedi 13 juillet 2019, à la Pierre St Martin
la junte de Roncal – ou Tribut des 3 vaches – est une cérémonie célébrée le 13 juillet de chaque année, au niveau de la borne internationale 262, marquant la frontière entre la France et l’Espagne, au col de la Pierre St Martin. Lors de cette cérémonie, les maires béarnais de la vallée de Barétous remettent à leurs homologues de la vallée de Roncal, 3 vaches, en vertu d’un traité vieux de plus de 6 siècles, considéré comme étant le plus ancien actuellement en vigueur en Europe.
Quelques mois plus tard, le montage de Fables est terminé. Au passage, j’ai rajouté le sous titre “misapi” qui provient d’un proverbe congolais évoqué par Natacha, une habitante du quartier des Blanchard de Château-Thierry.
Voici le 1er du film du triptyque de Château-Thierry.
filmé à Arette et Aramits, le 21 février 2019
Un nouveau territoire entre dans la microscopique : celui de Château-Thierry. Et plus particulièrement 3 quartiers de la ville : les Vaucrises, Vignotte et Blanchard.
Ci-dessous la note d’intention de Gaëlle Bourges (artiste chorégraphique) qui explique un peu le projet que nous avons mené durant une semaine. Une semaine pour tourner et monter un film de 52 minutes, autant dire que c’était très intense. Sensation d’avoir traversé une sacrée aventure humaine. Autant avec Gaëlle Bourges et Julie Vuoso qu’avec les habitants rencontrés. Partir de Jean de La Fontaine pour découvrir l’histoire du Congo, ce n’est pas rien.
Le film est un pré-montage réalisé pour la projection publique de fin de résidence. Une vraie période de montage serait nécessaire pour construire réellement le film.
filmé entre le lundi 23 et vendredi 27 avril 2018 à Château-Thierry
projection publique le samedi 28 avril 2018 à la médiathèque de Château-Thierry
note d’intention de Gaëlle Bourges
Projet de rencontres & film autour des fables de La Fontaine
En partenariat avec L’échangeur – CDCN Hauts-de-France, Château-Thierry
Gaëlle Bourges, artiste en résidence longue à L’échangeur – CDCN Hauts-de-France depuis
2016, accompagnée de Julie Vuoso (comédienne), propose de mener l’enquête à Château-
Thierry : sous l’oeil et la caméra de Claire Ananos (réalisatrice), l’enquête tentera de consigner
sous forme de dialogues filmés ce qu’inspire la mémoire de Jean de La Fontaine dans la ville,
notamment dans les quartiers Blanchard, Vaucrises et Vignotte.
Quel impact ont le musée, les aménagements sculptés des ronds-points, le nom de certaines
rues ou boutiques de Château-Thierry sur ceux qui y vivent ?
Est-ce que les habitants connaissent certaines fables du fameux écrivain ? Si oui, lesquelles ?
Et si non, quelles histoires analogues aux fables de La Fontaine circulent dans leurs
imaginaires, et depuis quelle culture d’origine ?
Pour entrer en contact avec les habitants des différents quartiers, Gaëlle Bourges et Julie
Vuoso performeront dans l’espace public une ou plusieurs fables sous forme de saynète, afin
d’attirer les passants et d’ouvrir un dialogue cordial et fécond. Claire Ananos enregistrera les
interactions entres les habitants et les performeuses, puis fabriquera un court documentaire
présenté à la fin de « l’enquête » – sorte de cartographie microscopique du rapport d’une ville
et de ses habitants aujourd’hui avec un homme du 17e siècle.
Un vent de folie douce souffle sur la microscopique apparemment…
Est-il provisoire ? Pérenne ? J’avoue l’ignorer totalement…
Toujours est-il que juste après avoir tourné le dernier plan du film, je suis tombée et j’ai fini aux urgences d’Oloron ! Tout en me retournant la cheville, la tête a peut-être vrillé un peu aussi ?
filmé le 12 octobre 2017, à Lourdios
Ce film pourrait être une dédicace à Lydie Paquet qui m’a appris le joli mot de Paréidolie*…
Comme monsieur Jourdain, qui faisait de la prose sans le savoir, je faisais des paréidolies à tour de bras en l’ignorant…
* Une paréidolie est une sorte d’illusion d’optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale. C’est cette étonnante capacité du cerveau humain à “donner du sens” là où il n’y en a pas réellement, et dont les mécanismes cognitifs sont encore mal connus.
Plus généralement, la paréidolie permet de saisir que toute perception est construction : c’est le sujet qui donne du sens à des stimulis perceptifs. Les exemples dans la vie courante sont légions : formes familières dans les nuages et dans diverses tâches et objets. (définition empruntée à : https://www.grapheine.com/divers/la-pareidolie-voir-des-visages-partout)
les mésanges charbonnières, corbeaux et étourneaux m’ont embarquée beaucoup plus loin que prévu…
filmé de septembre à décembre 2017, entre Arette et Féas
* merci à Air Rytmo pour m’avoir accordé l’autorisation d’utiliser le chant de Rosemary Standley et Dom La Nena
filmé les 1er et 2 novembre 2017, sur l’île de Sein
sur une proposition de Frédéric Ferrer, Compagnie Vertical Détour
avec Frédéric Ferrer et Hélène Guicharrousse
En 2017, Frédéric Ferrer me propose de croiser nos démarches pour réaliser un film-pilote d’un projet qu’il porte, “le point de vue du géographe“, et nous partons sur l’île de Sein en novembre.
Episode 1 : “le point de vue du géographe, la chapelle Saint Corentin“
il existe 2 versions de ce film : celle qui a eut la préférence de Frédéric Ferrer et celle qui a eut ma préférence, c’est cette dernière que je présente ici…
filmé de septembre à novembre 2017, Arette
Après 97 ans de doux et loyaux services à la vie, à son village et à sa famille.
Je ne l’ai pas filmé dans le cadre de la microscopique même si je l’ai filmé souvent par ailleurs.
Alors en hommage à Parrain qui m’a tellement encouragée et soutenue, toujours, même si mon métier lui semblait un peu bizarre, voilà le film réalisé en 1997.
avec Nicolas Loustalot et Gustav
filmé lundi 18 septembre 2017, Oloron-Sainte-Marie
filmé dimanche 20 juillet 2014, Arette, la Mouline
filmé samedi 19 juillet 2014, Arette, au Col de Lie
“quand j’ai plongé la bande son dans un logiciel d’écriture musicale, cela a donné une véritable musique”
> Sylvie Ananos, journal de la microscopique n°3
C’est exactement ce qui s’est produit pour D’un corps à l’autre…
Le spectacle Songe d’une nuit irradiée a eut lieu le 19 août dans le cadre des Mardis de l’Insolite.
J’avais tourné (avant) quelques bribes au hasard d’une agréable soirée d’été.
Une répétition. Dans une grange de Féas.
J’ai pris mon temps pour effectuer le montage…
Merci à Cynthia et Valentin pour leur disponibilité, leur talent, leur sympathique présence ce soir-là.
avec Cynthia Chicorp et Valentin Laborde
filmé vendredi 1er août 2014 à Féas